L'ORPHELIN
Statut : Réservé
I
Avec cinq ans
De solitude dans les veines,
Juste un enfant
Un peu plus vieux que la moyenne,
Qu’on n’adopte pas,
Car c'est plus mignon un bébé,
L’orphelinat
Est sa prison et son foyer.
II
Avec cinq ans
D’espoirs déçus et de rêves morts,
De faux parents
Qui s’ croient dans une chasse au trésor,
Ce petit gosse-là,
Sur commande, a fait des sourires,
Et puis il a
Décidé de ne plus grandir.
REFRAIN
Pour qu’on le prenne
Dans nos bras,
Pour qu’on l’aime,
Tu vois.
Pour qu’on lui donne
Une maison,
Un peu d’amour
Et notre nom.
Pour qu’on le prenne
Dans nos bras
Pour qu’on l’aime,
Tu vois.
Il serait même
Devenu chien
Pour un câlin.
III
Après cinq ans
D’absence d’amour et de survie,
Enfin des gens
Sont venus spécial’ment pour lui.
Pourtant il a peur
Que, s’il déçoit, on l’abandonne.
Alors son cœur
Fais semblant, mais n’ s’ouvre à personne.
REFRAIN
Pour qu’on le prenne
Dans nos bras,
Pour qu’on l’aime,
Tu vois.
Pour qu’on lui donne
Une maison,
Un peu d’amour
Et notre nom.
Pour qu’on le prenne
Dans nos bras,
Pour qu’on l’aime,
Tu vois.
Il serait même
Devenu chien
Pour un câlin.
REFRAIN
Pour qu’on le prenne
Dans nos bras,
Pour qu’on l’aime,
Tu vois.
Pour qu’on lui donne
Une maison,
Un peu d’amour
Et notre nom.
Pour qu’on le prenne
Dans nos bras,
Pour qu’on l’aime,
Tu vois.
Il serait même
Devenu chien
Pour un câlin.
© Mino Ratovondranto, Tous droits réservés.
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