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Affichage des articles du 2024

QUE DU FEU

  QUE  DU FEU Statut : Réservé Il mentait sans rien dire. Les réponses à mes questions, Ce n’était rien que des sourires Qui ne disaient jamais oui ou non. Ses regards en rafales N’avaient qu’un seul objectif : Créer une dépendance totale. J’étais son petit oiseau captif. J’ n’y ai vu que du feu. Je n’ai jamais vu la flamme Dont parlent les amoureux. Mais comme il m’appelait sa femme, J’ ai cru lire l’amour dans ses yeux. J’ n’y ai vu que du feu. Alors si aimer est un jeu, Allez ! Demi-tour, Mon amour, C’est une impasse : Je me casse ! Un jour, on se réveille, En amour respiratoire Quand sans lui, y a plus de soleil, Que l’oxygène, c’est son regard. Tant pis si ça fait mal, Je n’ai plus qu’un seul désir, Focus sur comment m’ faire la malle ! Hey ! Le petit oiseau va sortir ! J’ n’y ai vu que du feu. Je n’ai jamais vu la flamme Dont parlent les amoureux. Mais comme il m’appelait sa femme, J’ ai cru lire l’amour dans ses yeux. J’ n’y ai vu que du feu. Alors si aimer est un jeu, Allez !

LES PEINTRES D'AZUR

 LES PEINTRES D'AZUR Statut : Réservé Il me revient de l’enfance Un rire émerveillé Devant un oiseau immense Sur le point de s’envoler. Un étrange personnage L’avait peint sur un mur : L’oiseau sortait de sa cage Pour rejoindre l’azur. L’homme a dessiné ses ailes Et d’un coup de pinceau, L’oiseau a touché le ciel Au-dessus du tableau. Quand je suis dans la souffrance, Ou bien face à un mur, Me reviennent de l’enfance Tous ces peintres d’azur. Toi aussi, tu as des ailes, Un peu comme cet oiseau, Et si ce monde cruel Met ton cœur en lambeaux, Quand tu es dans la souffrance, Ou bien face à un mur, Souviens-toi de ton enfance Et des peintres d’azur. © Minohr, tous droits réservés.

FRISSONS

 FRISSONS Statut : Réservé Ta pitié me déshabille : Des larmes de petite fille Se déversent au moindre regard. Je ressens de la douleur Cet amour trop grand pour mon cœur, Tu ne veux pas le recevoir. J'ai des frissons sur la peau. J'ai des frissons quand je rêve, Mais je sais que l'amour est faux Quand je me lève. J'ai des frissons dans le dos, Un coup j'espère, un coup je crève, J'ai des frissons comme des couteaux Et ça m'achève. Que deviendra ma lumière ? Et mon chant dans ce désert Où le chagrin est infini ? Quand mon amour en exil, Sans oasis, et sans île, Ne veut que ton cœur pour patrie ? J'ai des frissons sur la peau. J'ai des frissons quand je rêve, Mais je sais que l'amour est faux Quand je me lève. J'ai des frissons dans le dos, Un coup j'espère, un coup je crève, J'ai des frissons comme des couteaux Et ça m'achève. Si le ciel pouvait pleuvoir Des larmes de désespoir, Tremper un désert de sanglots, L' amour q

UNE CHANSON

UNE CHANSON Statut : Réservé Y  a des chansons pour la nature, Y en a d'autres pour la planète, Y en a qui parlent du futur, Puis y a des chansons obsolètes. Des chansons pleines de culture, Qui ne valent pas une cacahuète, Et puis des chansons qu’on censurent parce que trop chaudes ou bien trop chouettes. Qu’on aille au bout de l’écriture, Qu’on finalise la maquette, Car le public, moi, j'en suis sûre, préfère les chansons bien faites. Il y a des chansons qui saturent : Dès qu’on les écoute, on arrête, Des fausses chansons qu’on murmure, Et puis celles qu’on crie à tue-tête. Des chansons disent « les temps sont durs », Et d’autres disent « Viens faire la fête ! » Il y a de ces chansons très pures, Et des ritournelles de goguette. Qu’on aille au bout de l’écriture, Qu’on finalise la maquette, Car une chanson sans ossature N’est même pas une chansonnette. Il y a des chansons qui carburent Grâce à la fille de la pochette, Des chansons aux parole obscures Qu’on attribue

JE SOURIS

  JE SOURIS ( Version masculine ) Statut : Réservé Elle me dit : « Tu es mon meilleur ami. J’ te confie Toutes mes histoires de cœur. » Je souris, C’est ce que font les amis. Mais sans bruit, Il y a mon cœur qui pleure. Elle me dit : « C’est l’amour de ma vie » Je souris Quand elle parle de lui. Je souris, Je suis heureux pour elle, Je me dis Que c’est ça l’essentiel. REFRAIN Je souris,  Je souris quoi qu’il advienne. Je souris,  Elle ne saura jamais que je l’aime. Quand je pleure, Ce n’est pas devant elle. Son bonheur M’importe plus que ma vie. Je souris,  Je souris quoi qu’il advienne. Je souris,  Elle ne saura jamais que je l’aime. Elle me dit : « Demain, je me marie. J’ai envie Que tu sois mon témoin » Je souris, Bien que mon cœur soit détruit. Je souris, Parce qu’elle en a besoin. REFRAIN Je souris,  Je souris quoi qu’il advienne. Je souris,  Elle ne saura jamais que je l’aime. Quand je pleure, Ce n’est pas devant elle. Son bonheur M’importe plus que ma vie. Je souris,  Je souri

DE LA GAIETE, DE LA COULEUR

 DE LA GAIETE, DE LA COULEUR Statut : Réservé I De la gaieté, de la couleur ! Donne-moi le sentiment d'être. Garde-moi en vie ! Si je meurs, Donne-moi l'envie de renaître. II Des pleurs aussi, de la douleur ! Donne-moi de vraies émotions : Le remord qu'on a dans l'erreur Et la tendresse du pardon. REFRAIN Ces petits riens chers à mon cœur, Ces drôles de soucis, ces grands bonheurs, Tout c’ qu’on partage, et toi qui souris, C’est ça qui donne un sens à ma vie. III De la gaieté, de la couleur Donne-moi la vie tous les jours Donne-moi avril et les fleurs Je te donn’rai mon amour. REFRAIN Ces petits riens chers à mon cœur, Ces drôles de soucis, ces grands bonheurs, Tout c’ qu’on partage, et toi qui souris, C’est ça qui donne un sens à ma vie. REFRAIN Ces petits riens chers à mon cœur, Ces drôles de soucis, ces grands bonheurs, Tout c’ qu’on partage, et toi qui souris, C’est ça qui donne un sens à ma vie. © Mino Ratovondranto, Tous droits réservés

L'ORPHELIN

 L'ORPHELIN Statut :  Réservé I Avec cinq ans De solitude dans les veines, Juste un enfant Un peu plus vieux que la moyenne, Qu’on n’adopte pas, Car c'est plus mignon un bébé, L’orphelinat Est sa prison et son foyer. II Avec cinq ans D’espoirs déçus et de rêves morts, De faux parents Qui s’ croient dans une chasse au trésor, Ce petit gosse-là, Sur commande, a fait des sourires, Et puis il a Décidé de ne plus grandir. REFRAIN Pour qu’on le prenne Dans nos bras, Pour qu’on l’aime, Tu vois. Pour qu’on lui donne Une maison, Un peu d’amour Et notre nom. Pour qu’on le prenne Dans nos bras Pour qu’on l’aime, Tu vois. Il serait même Devenu chien Pour un câlin. III Après cinq ans D’absence d’amour et de survie, Enfin des gens Sont venus spécial’ment pour lui. Pourtant il a peur Que, s’il déçoit, on l’abandonne. Alors son cœur Fais semblant, mais n’ s’ouvre à personne. REFRAIN Pour qu’on le prenne Dans nos bras, Pour qu’on l’aime, Tu vois. Pour qu’on lui donne Une maison, Un peu d’amour

UN BAISER

 UN BAISER Statut : Réservé Je veux Des baisers, Des baisers doux, Des baisers partout ! Des baisers roses ou rouge ardent, Avec passion ou tendrement, Qui se poseraient sur la joue, Et aussi dans le cou. J’ veux pas De baisers, De baisers miel, De baisers cruels ! Qui veulent tout dire et rien du tout, Comme une promesse qui s’en fout, Qui fait monter au septième ciel, Puis voir trente-six chandelles. Je veux Des baisers, Des baisers forts, Des baisers sonores ! Avec des bras qui vous entourent, Pour de nouveau croire à l’amour, Tout en douceur et réconfort, Ceux-là, j’en veux encore ! J’ veux pas De baisers, De baisers lourds, D’ baisers sans amour, Par habitude ou pour le fun, Parc’ que c’est un genre qu’on se donne, De baisers fuyants juste pour Faire un banal bonjour. Je veux Des baisers, Des baisers forts, Des baisers sonores ! Avec des bras qui vous entourent, Pour de nouveau croire à l’amour, Tout en douceur et réconfort, Ceux-là, j’en veux encore ! © Ratovondranto Mino, tous

LA FOULURE

 LA FOULURE Statut : Réservé I 4 Souviens-toi de 4 Colin-maillard, 4 Quand on jouait 4 Dans le brouillard, 5 Tu t'étais foulé 3 La cheville. 5 Je t'ai fabriqué 3 Des béquilles 5 Avec mon épaule 3 Et mon bras. 4 Je t'ai plâtré 4 Avec ma bouche, 4 J'ai mis au moins 4 Cinquante couches 5 De petits baisers 3 Guérisseurs, 5 Et tu grimaçais 3 De douleur 5 Pour ne pas montrer 3 Ton émoi. II 4 Le brouillard s'est 4 Changé en pluie, 4 On a cherché 4 Un P’tit abri. 5 Dans une cabane 3 De pêcheur, 5 Au milieu des cannes 3 Et des leurres, 5 Je t’ai préparé 3 Un p’tit nid. 4 Comme des noces 4 Inattendues, 4 Bénies par l'eau 4 Tombée des nues, 5 Moi, je t'ai portée 3 Dans mes bras 5 Pour entrer dans la 3 Case en bois 5 Où l'on a passé 3 Tout’ la nuit. III 4 Et dans le noir, 4 Le corps fiévreux, 4 J'ai su, tu me 4 Cherchais des yeux. 5 J'étais si inquiet, 3 T’ avais mal, 5 On n’était pas près 3 D’ l’hôpital, 5 Mais j’ai trouvé la 3 Solution : 4 Au tout début,

OSER LA LIBERTE

CELUI QUI OSE Statut : Réservé I Je ne voyais pas le temps qui passe Avant d’ l’avoir perdu. J’ai usé ma pauvre carcasse Dans des métiers ardus Et mal payés. Et puis un jour, j’ai vu dans ma glace Un visage inconnu. Je n’ai pas retrouvé la trace De l’homme résolu Que j’étais. REFRAIN Il faut qu'on ose à fond, Qu'on ose faire, Qu'on ose parler, On doit oser dire non ! Afin d'oser rêver L’extraordinaire, Et pour tout changer, Oser la liberté. II Je ne voyais pas les loups qui volent Le temps des pauvres gens, Se disant leurs porte-parole Tout en les muselant A leur insu. Tu peux me passer la camisole, Il y aura maintenant, Pour raconter ce ras-le bol, Bien d’autres fous chantants Dans la rue. REFRAIN Il faut qu'on ose à fond, Qu'on ose faire, Qu'on ose parler, On doit oser dire non ! Afin d'oser rêver L’extraordinaire, Et pour tout changer, Oser La liberté. © Mino Ratovondranto, Tous droits réservés

FEMME PLURIELLE

FEMME PLURIELLE Statut : Réservé I La femme fatale, Celle qui a mal, Une femme discrète ... Qui te tient tête ! PRE-REFRAIN J’ai tout donné pour être celles Que tu désires, Une femme plurielle. Et ça te fait sourire... REFRAIN Cacher et dévoiler mon âme, Être le jour et la nuit, J’ai appris à devenir toutes les femmes, Toutes les femmes de ta vie. II La femme qui pleure, Celle qui n’a pas peur, Épouse terre à terre ... Célibataire ! PRE-REFRAIN J’ai tout donné pour être celles Que tu désires, Une femme plurielle. Et ça te fait sourire... REFRAIN Cacher et dévoiler mon âme, Être le jour et la nuit, J’ai appris à devenir toutes les femmes, Toutes les femmes de ta vie. III Mes deuils et mes fêtes, Talons aiguille, baskets, Mes désirs profonds … Mes illusions ! FINAL J’ai tout donné pour être celles Que tu désires, Une femme plurielle Et ça te fait sourire... © Mino Ratovondranto, Tous droits réservés

LA FETE DE LA MUSIQUE

 LA FETE DE LA MUSIQUE Statut : Réservé I C'est une nuit très spéciale : On voit des scies musicales Avec des orgues de barbarie. Saxophone et violoncelle Parlent au piano à bretelles. Des cœurs, des mains jouent la batterie. REFRAIN C'est la fête de la musique ! Un seul moment dans l'année, Ce n'est pas assez. Vois en Afrique : Chacun fredonne un peu tous les jours, En travaillant, en faisant l'amour. II C'est une nuit très spéciale : On donne des récitals Au coin des rues dans tout le pays. C'est une nuit très spéciale : Nous pouvons être cigales, Nous qui tout le temps sommes fourmis. REFRAIN C'est la fête de la musique ! Un seul moment dans l'année, Ce n'est pas assez. Vois en Afrique : Chacun fredonne un peu tous les jours, En travaillant, en faisant l'amour. REFRAIN C'est la fête de la musique ! Un seul moment dans l'année, Ce n'est pas assez. Vois en Afrique : Chacun fredonne un peu tous les jours, En travaillant, en faisan

AMIS AMOUREUX

 AMIS AMOUREUX Statut : Finalisé  Compositeur-interprète : Renaud Vidal I 4 Tant se défendre 5 Des regards d’espoir, 4 Des gestes tendres, 5 Ne jamais y croire, 5 A fait de nous deux 6 Des amis amoureux. 4 Rien ne nous blesse 5 Dans ce sentiment : 4 Pas de promesses 5 Et aucun serment. 5 C’est sans importance, 6 Car on se fait confiance. REFRAIN 7 Mais on ne vit pas ensemble. 7 On s’aime trop d’amitié, 5 Et nos deux cœurs tremblent 8 À la pensée d’être enchaînés. 8 Pourtant ce lien qui nous unit, 7 Qui n’a pas le nom d’amour, 7 Nous fait vivre chaque jour 5 Et rêver la nuit 7 À ce qu’on s’est interdit. II 4 D’autres personnes 5 Promettent de rester, 4 Puis m’abandonnent 5 Comme un jouet cassé. 5 Tu es toujours là 6 Quand j’ai besoin de toi. REFRAIN 7 Mais on ne vit pas ensemble. 7 On s’aime trop d’amitié 5 Et nos deux cœurs tremblent 8 À la pensée d’être enchaînés. 8 Toi, tu vas traverser la terre 7 Pour calmer mon cœur transi. 7 Quand un amour me trahit. 5 Quand je désespère, 7 Tes br

LE GRAND JEU

 LE GRAND JEU Statut : Réservé I 4 Un peu James Dean, 5 Beaucoup Marilyn, 6 Elle ressemble aux grandes stars 3 Du passé. 4 Quand elle cuisine, 5 Moulée dans son jean, 6 On dirait qu’elle répare 3 Une Harley. PRE-REFRAIN 7 Je crois qu’elle n’a rien prévu 6 De sa mèche qui s’envole, 6 De sa lèvre mordue, 6 De mon cœur qui s’affole. REFRAIN 6 Elle me sort le grand jeu 5 En toute innocence, 5 Du moins je le pense. 7 Moi, je retombe amoureux. 5 Quand elle me séduit, 5 La femme de ma vie. II 4 Dans son marcel, 5 Mon Dieu, qu’elle est belle. 6 Je suis presque jaloux 3 Du tissu. 4 Elle se rebelle 5 Quand je lui révèle 6 Que je devine ses sous- 3 Entendus. PRE-REFRAIN 7 Elle dit qu’elle n’a rien prévu 6 De sa mèche qui s’envole, 6 De sa lèvre mordue, 6 De mon cœur qui s’affole. REFRAIN 6 Elle me sort le grand jeu 5 En toute innocence, 5 Du moins je le pense. 7 Moi, je retombe amoureux. 5 Quand elle me séduit, 5 La femme de ma vie. PONT 4 Quand elle se penche : 7 Je reçois une avalanche 6 De sou

LA POUSSIERE D'OR

 LA POUSSIÈRE D’OR Statut : Réservé 10 Si le jardin D’Éden existe encore, 8 Je te promets des jours heureux. 10 Je soufflerai sur la poussière d’or 7 Qui a fait pleurer tes yeux. 10 Au dernier jour, quand tu auras cent ans, 11 J’irai avec toi vers le soleil couchant. 10 Quand tes yeux se fermeront ici-bas, 8 J’irai t’aimer dans l’au-delà. 10 Au jugement, je prendrai tous les torts. 8 Je te promets tous les aveux. 10 Je soufflerai sur la poussière d’or 7 Qui a fait pleurer tes yeux. 10 J’avalerai tout pour sauver ton âme, 11 Même si pour ça, je dois finir dans les flammes, 10 Tous les fruits de ce paradis perdu. 8 Sans toi, c’est moi l’ange déchu. 10 Mais, mon amour, si ton front penche encore, 8 Je te promets, je prierai Dieu 10 De souffler sur cette poussière d’or 7 Qui a fait pleurer tes yeux. © Minohr, Tous droits réservés

OSER

OSER Statut : Réservé I 4 Je vais oser 4 Juste un sourire 3 Qui respire  3 Le ciel bleu, 4 Puis espérer 5 Enfin te toucher. 4 Je vais oser 4 Juste un regard 3 Qui s’égare  3 Dans tes yeux 4 Et m’étonner  5 D’y voir mon reflet. REFRAIN Et puis je vais oser  Te donner la main, Un rendez-vous demain  Et tous les autres jours. Je vais parler  De tout et de rien, Et peut-être enfin Je vais oser Te dire mon amour. II 4 Je vais oser 4 Une éraflure  3 Sur ces murs  3 De méfiance 4 Pour certains jours  5 Remplis de détours. 4 Je vais oser 4 Le premiers pas. 3 Chaque fois  3 Qu’ le silence 4 Pes’ra trop lourd,  5 J’te dirai bonjour. REFRAIN Ensuite je vais oser Te redonner la main, Un rendez-vous demain  Et tous les autres jours. Je vais reparler  De tout et de rien, Et peut-être enfin Je vais oser Te redire mon amour. REFRAIN je vais oser Te redonner la main, Un rendez-vous demain  Et tous les autres jours. Je vais reparler  De tout et de rien, Et peut-être enfin Je vais oser Te redire mon amou

PARTIR AVEC SA GUITARE

 PARTIR AVEC SA GUITARE Statut : Réservé I « Je n’aurai plus de factures, De relances ou de coupures, De menaces d’expulsion, Si je n’ai plus de maison. J’aurai faim, peut-être froid, Mais on n’aura plus sur moi Tous ces moyens de pression Si je n’ai plus de maison. » REFRAIN C’est ce qu’il a dit  Avant de partir avec sa guitare Et son chien. « Car toute ta vie,  Tu penses avoir, Mais finalement tu n’as rien. » C’est ce qu’il a dit  Avant de partir avec sa guitare Et son chien, Car pour finir, Au moins sa vie lui appartient.  II « Et pour qu’on me laisse tranquille, Je vais même quitter la ville. Je n’aurai aucune adresse, J’en ai un peu marre du stress. Devoir payer pour garder Ce qu’on a déjà gagné, C’est quelque chose qui m’oppresse. J’en ai un peu marre du stress. » REFRAIN C’est ce qu’il a dit  Avant de partir avec sa guitare Et son chien. « Car toute ta vie,  Tu penses avoir, Mais finalement tu n’as rien. » C’est ce qu’il a dit  Avant de partir avec sa guitare Et son chien, Car p

LES ROSES

 LES ROSES Statut : Réservé I 8 Quand tes mots dépassent ta pensée, 7 Je m’enferme dans mon silence. 7 Si au fond je suis blessé, 8 J’affiche une belle indifférence. 8 Tu es trop fière pour t’excuser, 7 J’ai trop peur de dire que j’ t’aime. 7 Toutes ces occasions manquées 8 Font tous ces remords que l’on traîne. PRE-REFRAIN Mais bien sûr tout ça, Ce n’est que du cinéma, On s’aime vraiment, toi et moi. REFRAIN Je t’envoie sur les roses, Tu me jettes aux orties. Mais on ne met jamais sur pause L’histoire de notre vie. Je ne croirais plus à grand-chose Si un jour tu me laisses. Mais c’est sûr, j’enverrais des roses A ta nouvelle adresse. II 8 On pimente nos vies en débats, 7 A qui a raison ou tort, 7 Croisant le fer... et les doigts 8 Pour que l’amour soit le plus fort. PRE-REFRAIN Mais bien sûr tout ça, Ce n’est que du cinéma, On s’aime vraiment, toi et moi. REFRAIN Je t’envoie sur les roses, Tu me jettes aux orties. Mais on ne met jamais sur pause L’histoire de notre vie. Je ne croirais

GAMER

 GAMER Statut : Réservé ( compositeurs-interprètes : Nix Andria ) I Gamer, Je risque ma vie Dans des jeux terrifiants pour me sentir vivant. Mais ça ne dure qu’un instant. Gamer, Game over. Gamer, Je relève le défi D’aller loin et très vite. Repoussant mes limites, Je suis fort et puissant. Mais ça ne dure qu’un instant. Gamer, Game over. PRE-REFRAIN Quoi que je fasse, la mort me suit à la trace. REFRAIN Gamer, Dans un monde illusoire Où j’ai tous les pouvoirs, Je vis une autre histoire Que la mienne. Le temps d’une victoire, J’oublie ma vie quotidienne. Mais la mort m’y ramène. Gamer, Game over. II Gamer, Je risque ma vie. Comme un grand combattant, Je reprends l’ascendant Sur tout ce qui me fait peur. Gamer, Game over. Gamer, Je relève le défi D’aller braver la mort, Comme si c’était un sport, En mesurant l’ampleur De tout ce qui me fait peur. Gamer, Game over. PRE-REFRAIN Quoi que je fasse, la mort me suit à la trace. REFRAIN Gamer, Dans un monde illusoire Où j’ai tous les pouvoirs,

L'ENFANCE

L’ENFANCE Statut : Réservé I Tout le mond’ sait qu’ ça dure longtemps, L’enfance. On la garde encore à vingt ans, L’enfance. D’ailleurs on n’ la perd pas vraiment Même si le temps passe. Les parents, ce sont des enfants Qui se dépassent Pour leurs enfants. II C’est fait de joies instantanées, L’enfance, De choses où rien n’est calculé D’avance. C’est un amour si grand, si beau  Que ça laisse des traces. Les parents, ce sont des ados Qui se dépassent Pour leurs marmots. III Même grands, ils ont su garder L’enfance. Comme une part d’humanité, De chance. Les gens vieillissent, c’est certain, Mais seulement en surface : Les parents, ce sont des gamins Qui se dépassent pour leurs bambins. © Minohr, Tous droits réservés

MENTAL D'ACIER

 MENTAL D’ACIER Statut : Réservé Compositeur-interprète : Stéphane Carpentier. I Quand je ne sais plus comment rester libre, Que partout où je vais, je m’excuse de vivre, Et que tous mes rêves sont ceux d’un prisonnier, J’ai envie de me réveiller. REFRAIN Je m’ lève Parc’ que j’en crève De voir mes rêves Un à un se briser. Je m’ lance Même si je pense Que ma seule chance, C’est un mental d’acier. J’ fais l’effort D’essayer encore Même si j’ai tort Et que tout est joué. Final’ment, Je s’rai gagnant, En me forgeant Un mental d’acier. II Tomber de haut fera partie du jeu. Mais plus jamais je ne fermerai les yeux Pour ne pas transformer mes rêves en regrets : Ils deviendront réalité ! REFRAIN Je m’ lève Parc’ que j’en crève De voir mes rêves Un à un se briser. Je m’ lance Même si je pense Que ma seule chance, C’est un mental d’acier. J’ fais l’effort D’essayer encore Même si j’ai tort Et que tout est joué. Final’ment, Je s’rai gagnant, En me forgeant Un mental d’acier. PONT MUSICAL REFRAIN

CROIRE EN NOUS

 CROIRE EN NOUS Statut : Réservé (  compositeur-interprète : Renaud Vidal ) I J’ai, comme toi dans tes jours de galère, Des rêves fous qui finissent en poussière. Je n’attends pas le paradis sur terre, Mais juste un peu de lumière. REFRAIN I J’ai jeté une pièce dans la fontaine, J’ai un vœu à réaliser. Tu fais une prière qui s’égrène Sur les larmes d’un chapelet. J’aimerais tant qu’on se comprenne, Mais je n’ose pas l’espérer. Les choses, pour qu’on les obtienne, Faut-il croire en Dieu ou aux fées ? J’aimerais surtout croire en nous. J’aimerais surtout croire en nous. II Il est certain que l’abîme est immense, Mais si nos mains jointes comblaient la distance En faisant un pont sur nos différences, On aurait peut-être une chance. REFRAIN II J’ai jeté une pièce dans la fontaine, J’ai un vœu à réaliser. Tu fais une prière qui s’égrène Sur les larmes d’un chapelet. J’aimerais tant qu’on se comprenne, J’aimerais encore essayer  De briser toutes ces chaînes Pour qu’on puisse enfin se parler.