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Affichage des articles du 2023

LA PLUME ET LE PAPIER

 LA PLUME ET LE PAPIER Statut : Réservé I Il était une fois un enfant, Un petit garçon qui rêvait. Il fabriquait des pièges à vent Avec des plumes et du papier. Et il disait : REFRAIN Avec des plumes, on peut voler, Avec une plume, on peut écrire Toute les chagrins sur un bout de papier. Avec le vent, la plume et le papier, Avec le vent, comme tout ça c’est léger, La tristesse va bien finir Par s’envoler. II Ce garçon est devenu grand, Mais je crois qu’il pense toujours Qu’il faut faire des pièges à vent Quand un chagrin est trop lourd. Il dit toujours : REFRAIN Avec des plumes, on peut voler, Avec une plume, on peut écrire Toute les chagrins sur un bout de papier. Avec le vent, la plume et le papier, Avec le vent, comme tout ça c’est léger, La tristesse va bien finir Par s’envoler. REFRAIN Avec des plumes, on peut voler, Avec une plume, on peut écrire Toute les chagrins sur un bout de papier. Avec le vent, la plume et le papier, Avec le vent, comme tout ça c’est léger, La tristesse va

LA PETITE VOIX

 LA PETITE VOIX Statut : Finalisé Compositeur-interprète : Stéphane Carpentier I Elle me dit « Va-t'en, Cette vie n’est pas pour toi ». Puis elle me crie « Attends ! Essaie et tu verras », La petite voix, La petite voix. II Elle brouille mon regard Et ralentit mes pas Puis elle dit «  C’est trop tard », Mais je ne la crois pas, La petite voix, La petite voix. REFRAIN Elle me prend la tête, S’accroche à mon âme. Je vis dans la tempête De ses retours de flamme. Je n’ose pas, j’ose, La raison ou l’amour, La question se pose Toujours. III Elle me dit encore « Il faut tenter ta chance ». Quand je vois que c’est mort, Elle me dit «  Recommence », La petite voix, La petite voix. REFRAIN Elle me prend la tête, S’accroche à mon âme. Je vis dans la tempête De ses retours de flamme. Je n’ose pas, j’ose, La raison ou l’amour, La question se pose Toujours. PONT La petite voix qu’ j’ai dans la tête, La petite voix qui dit «  arrête ! » Elle viens se loger dans mon cœur En ultimatum « fonce ou me

QUAND J'AIME, J'AIME

 QUAND J’AIME, J’AIME Statut : Finalisé Compositeur-interprète : Stéphane Carpentier I Le cours de ma vie, Toute mon histoire, C’est des gens qui fuient Devant mon regard Affamé. II Je n’ai pas appris Les demi-mesures, La diplomatie, L’idée de censure Pour charmer. REFRAIN Quand j’aime, j’aime. Je le dis sans fard, Sans aucun problème. Quand j’aime, j’aime. Juste avec l’espoir D’être aimé, Aimé ! III Je n’ai jamais su Les mots sibyllins. Mes phrases sont nues Ou je ne dis rien, Désolé. REFRAIN Quand j’aime, j’aime. Je le dis sans fard, Sans aucun problème. Quand j’aime, j’aime. Juste avec l’espoir D’être aimé, Aimé ! BRIDGE Pourtant quand j’ai mal, je sais montrer Une indifférence étudiée. Et là, tout le monde se laisse avoir. Je n’ai jamais su émouvoir. REFRAIN Quand j’aime, j’aime. Je le dis sans fard, Sans aucun problème. Quand j’aime, j’aime. Juste avec l’espoir D’être aimé, Aimé ! REFRAIN Quand j’aime, j’aime. Je le dis sans fard, Sans aucun problème. Quand j’aime, j’aime. Juste a

ELVIRA ET SIXTEN

 ELVIRA ET SIXTEN Statut : Réservé Texte écrit sur le Concerto n°21 - II andante de Mozart, inspiré de l'histoire d'Elvira Madigan et Sixten Sparre. - Vivre le bonheur Contre vents et marées Ne fait pas peur Auprès de l’être aimé. Toi… - Moi, je t’aime. - Nous… - Nous, on s’aime. - Sauf que l’on vit Un adultère. On est maudits, On paiera cher Notre infamie. - Repose-toi mon amour, je suis là. Je veillerai tous les jours sur toi. - Nous vivrons ensemble Dans un autre monde. Ici, on tremble Et on vagabonde. Toi... - Moi, je t’aime. - Nous... - Nous on s’aime. - Oui, malgré tout on s’aime ! L’église Et le ciel ne nous béniront pas. Les gens nous méprisent : « Une danseuse débauche un soldat ! ». Pourtant nous nous aimons Plus fort que tout. Qu’importe leurs raisons, Leurs lois, les droits qu’ils ont, Nous on s’en fout ! - Qu’importe, qu’importe que l’on fuie, Qu’importe qu’on nous traque Et que l’on soit maudits. Si fort que soit l’attaque, Nous resterons unis. - Repose-toi mon am

MA PLACE SUR TERRE

 MA PLACE SUR TERRE Statut : Réservé Parfois j’ai une envie de mordre, Je ne suis bien que loin des sentiers battus. C’est si fort que j’ai envie de tordre Le cou aux idées reçues. Pour que tu me calcules, que dois-je faire ? Te ressembler  Ou le contraire ? Prier les anges du ciel ou les démons de l’enfer Pour avoir ma place sur terre Ma place sur terre Qui définit le modèle humain ? de quelle manière On trouve sa place sur terre ? Sa place sur terre Je crois  Qu’il n’y a pas de loi. Comme toi, je suis un être vivant, J’ai besoin d’air, besoin d’eau et de lumière. Mais brûle en moi un feu différent De ton prisme solaire. Pour que tu me calcules, que dois-je faire D’extraordinaire ? Que dois-je faire ? Aller  Prier ? Prier les anges du ciel ou les démons de l’enfer Pour avoir ma place sur terre Ma place sur terre Qui définit le modèle humain ? de quelle manière On trouve sa place sur terre ? Sa place sur terre Je crois  Qu’il n’y a pas de loi. © Minohr, Tous droits réservés

LES CRAYONS DE DOULEUR

 LES CRAYONS DE DOULEUR Statut : Réservé Elle a un bleu sur la joue, Différents bleus sur le cœur. Elle veut plus toucher  A ses crayons de couleur. Le vert de rage,  Le rouge de colère, Le rose bonbon,  Les bonbons sont amers. Dans sa tour d’ivoire, Elle dessine des éléphants. Ses dessins sont tout noirs. Elle voudrait tant Perdre la mémoire. Elle n’aime pas l’arc-en-ciel, Pour elle, ça veut dire qu’il pleut. Ces couleurs démentielles,  C’est de la poudre aux yeux. Le vert de l’orage, Le vert de rage Le rouge de l’éclair, Le rouge de colère Le rose bonbon, Les bonbons sont amers. Dans sa tour d’ivoire, Elle dessine des éléphants. Ses dessins sont tout noirs. Elle voudrait tant Perdre la mémoire. On a volé son enfance. On n’a pas pris sa défense. Dans sa tour d’ivoire, Elle dessine des éléphants. Ses dessins sont tout noirs. Elle voudrait tant Perdre la mémoire. Ses dessins sont tous noirs Ses dessins sont tous noirs Qu’elle perde la mémoire Qu’elle perde la mémoire Le vert de l’orage,

LA BALLADE DE LA BOSSUE

 LA BALLADE DE LA BOSSUE Statut : Réservé ( Sérénade de Schubert ) I Gloire, la bossue, Faisait, les mains nues, Le bonheur du village Le bonheur du village Avec ses yeux qui, Comme un bon whisky, Brillaient de vingt ans d’âge. Brillaient de vingt ans d’âge. Quand les gens avaient mal au cœur, Le sien pouvait guérir. Le sien pouvait guérir. Elle répandait en douceur La joie et le sourire. La joie et le sourire. Pont Un tombeur de femmes, En voyant son très beau visage, Déclara sa flamme Et la demanda en mariage : II «  Je fonds sous tes yeux, Je jure devant Dieu, Pour éloigner les pleurs, Pour éloigner les pleurs, D’avoir le repos Que quand il fait beau Dans ton âme, mon cœur. » Dans ton âme, mon cœur. » Mais il ne tint pas sa promesse : Vite il a disparu Vite il a disparu En voyant que notre princesse Avait le dos bossu. Avait le dos bossu. III Depuis cette histoire, La petite Gloire N’a plus jamais souri. N’a plus jamais souri. Au fond de ses yeux, Deux lacs silencieux Ont remplacé l

SOUS LES ETOILES

 SOUS LES ETOILES Statut : Finalisé Compositeur-interprète : Stéphane Carpentier J'ai peur, Je n'ai plus confiance. Mon cœur, N'est pas serein. L' bonheur, Après les souffrances, J'ai peur D'y croire en vain. Comme ceux Qui ont fait de l'amour Un jeu, J'avais mis les voiles, Comme ça, Mais je t'aime toujours, Silencieux Sous les étoiles. J'ai froid : Il manque ta présence. Je dois Vivre ma vie Sans toi. Mais rien n'a de sens : J'ai froid Quand je t'oublie. Comme ceux Qui ont aimé trop fort, Mes yeux Quelquefois se voilent. Je crois que je te rêve encore, Silencieux Sous les étoiles. C’est fou, Je vis un supplice, Partout Je crois te voir. Quand tous Mes sens me trahissent, C’est fou, J'ai de l'espoir. Comme ceux Qui ont aimé tout court, Heureux, A la belle étoile, Tu vois, Je rêve aussi d'amour, Silencieux, Mais ça fait mal. © Minohr, Tous droits réservés

DANS LE SILENCE

 DANS LE SILENCE Statut : Réservé I Ton cœur battant Plus fort pour un autre amant, Le froissement de tes cils, Le bruit du vent Dans tes cheveux, tous les chants Qu'on voit naître sur les îles, Naissent sur tes mots absents. REFRAIN Dans le silence, Je t'entends en permanence, Et dans ma transe, Tu es ici, Tu tourbillonnes et je ris, On s'aime aussi. II J'entends toujours L'écho de tes mots d'amour Depuis que tu es partie. Et si le jour, Je ne vis pas ton retour, J'en rêve toutes les nuits. Je sens tes bras qui m'entourent. REFRAIN Dans le silence, Je t'entends en permanence, Et dans ma transe, Tu es ici, Tu tourbillonnes et je ris, On s'aime aussi. PONT Je sens en moi Comme un vide, un désespoir. Parfois je vois Ton reflet dans le miroir. Souvent je crois Que tu vas rentrer le soir, Et le matin, Je t'attends, le cœur hagard. Souvent je crois Que tu reviens. REFRAIN Dans le silence, Je t'entends en permanence, Et dans ma transe, Tu es ic

ELLE EST SI BELLE

 ELLE EST SI BELLE Statut : Réservé Elle est si belle, Mon cœur en tremble De vous penser Toi avec elle, Vous deux ensemble A vous aimer. J'ai trop d'images dans la tête, Tout un album de chagrins, Et j ' délire. J' me sens malheureuse et bête. Savoir tes yeux dans les siens, Ҫa m' déchire. Elle est si belle... Toi avec elle... On s'est aimé tell'ment fort Que j'ai pensé que c'était Pour toujours. Hélas, je sais, j'avais tort, Ça peut aussi bien casser L 'grand amour. Vous deux ensemble... Mon cœur en tremble... J'ai tant pleuré Sur notre histoire. Pour en finir, Je t'ai chassé De ma mémoire, J' veux pas mourir. Dans l'avenir, Qu' le temps me lave Ce goût salé. J'ai dû haïr, Mais les dieux savent Que j'ai aimé. Elle est si belle... Toi avec elle... Elle est si belle... Mes yeux ruissellent. © Minohr, Tous droits réservés

AVEC TOI

 AVEC TOI Statut : Réservé I Tu vivais très loin de mon ciel Les décembres en été. Tes plus beau cadeaux de Noël Étaient d'être entourée. Il y a un parfum de cannelle En couleur sur ta chair. Savoir tout cela me rappelle Que tu es étrangère. Mais je vois aussi le soleil Briller dans ton sourire. Ton pays chante à mes oreilles Tes plus beaux souvenirs. Tu m'as sorti de mon sommeil En me faisant rêver A ces mille et une merveilles Qui me font voyager. REFRAIN Avec toi, je pourrai Faire de nos différences Un miracle, une chance, Rien qu'en les partageant. Avec toi, je pourrai Aimer vraiment. II Il n'y a plus d'espaces verts Dans toute ma cité. Il faut aller jusqu'à la mer Si on veut s'évader. Toi, tu penses que mon univers Est beau au quotidien, Pourtant si ce n'est pas l'enfer, Ça y ressemble bien. Tu dis qu’ici, il y a des lieux Où je peux m’exprimer, Les arts qui sont autant de dieux, Je peux les rencontrer. Il y a des chances pour qui veut, Des rêve

LE VENT MENT

LE VENT MENT Statut : Réservé I Il m'arrive encore Malgré le temps D'entendre dans le vent L'écho de ton rire et de tes promesses. Pourtant, nous, c'est mort, Et le vent ment. Il me souffle souvent Ces tendres mots d'amour qui me blessent. REFRAIN Bon vent, toi qui n'as su que partir, Fuyant nos colères et nos peurs. Le pardon qu'on n'a pas su se dire Résonne toujours au fond de mon cœur. II Il m'arrive encore D'avoir les mains, Le regard, le cœur pleins Des gestes qui pourraient passer l'éponge. Et là, tout mon corps Tremble d'espoir, Croit qu'il n'est pas trop tard. Le vent dit-il encore un mensonge ? REFRAIN Bon vent, toi qui n'as su que partir, Fuyant nos colères et nos peurs. Le pardon qu'on n'a pas su se dire Résonne toujours au fond de mon cœur. III S'il t'arrive un jour D'avoir moins mal, De sécher au mistral Tes yeux blessés par d'anciennes rancœurs, Auras-tu, mon amour, Un peu de place, Que le

SILENCIEUX

 SILENCIEUX Statut : Réservé I Il parle avec la main  Qui se serre et s'envole Du cœur jusqu'à la bouche, Petit geste de rien, A défaut de parole, Mais le geste fait mouche. REFRAIN Un peu de lui Dans mon regard, Et dans ses mains Un peu de moi : Tous les non-dits Par manque d'espoir, Peur ou chagrin, Je les dis comme ça. II Car son silence est fort  De rêves et de peines Mélangés à la joie. Mes mots ont-ils encore Un sens quand ils me viennent ? Que disent-ils de moi ? REFRAIN Un peu de lui Dans mon regard, Et dans ses mains Un peu de moi : Tous les non-dits Parce que trop tard, Parce que c'est vain, Je te les dis là. III N'est-il pas le reflet De tout ce que je n'ai pas dit  Qui me fait le cœur gros ? Il a aussi aimé d'un amour infini, Comme moi, sans les mots. REFRAIN Un peu de lui Dans mon regard, Et dans ses mains Un peu de moi : Tous les non-dits Parce que trop tard, Parce que c'est vain, Je te les dis là. IV L'émotion dessinée Transforme son s

ON RECOMMENCE

ON RECOMMENCE Statut : Finalisé Compositeur-interprète : Stéphane Carpentier I Tic tac, tic-tic tac J’entends le sang de tous ces gens qui courent. Besoin d’argent, ou simplement d’amour. Devant leur nez, il y a des portes qui claquent. II Tic tac, tic-tic tac J’entends le bruit de la rue qui s'affole, Un drôle de cri, comme une farandole. Je le vois bien, ce sont les nerfs qui craquent. PRE-REFRAIN Mais je sais aussi qu’on cherche à aller mieux Avec presque rien, on essaie d’être heureux. REFRAIN On recommence,  Car l’erreur est humaine. Quand on y pense,  Il y a des larmes qui viennent. Mais on recommence... III Tic tac, tic-tic tac J’entends la mer qui fait des tsunamis. Je vois la guerre et les intempéries. Je sens d’ici que le monde se détraque. IV Tic tac, tic-tic tac J’entends des mots démoralisateurs Sur les réseaux, des choses qui font peur Et on s’enferme à clé dans sa baraque. PRE-REFRAIN Mais je sais aussi qu’on cherche à aller mieux Avec presque rien, on essaie d’être

LE TEMPS DE LE VOIR

LE TEMPS DE LE VOIR Statut : Réservé I Prends le train, prends la voiture, prends un congé. Tu as tant de choses à lui dire avant son départ. Tu ne l’as pas vu depuis des mois, des années. Vous aurez beaucoup d’histoires A vous raconter. II Maintenant qu’il sait que tu vas enfin venir, Il accepte une nouvelle fois de se faire soigner Au téléphone, tu ne parles que de l’avenir, Comme si tous vos projets Pouvaient le guérir. REFRAIN Je sais que tu as peur de sa mort, Tu repousses encore et encore Le temps de le voir. Car un père, ça attend son enfant Avant de partir au firmament, Même s’il vient tard. Mais j’ai bien peur qu’à force d’attendre Ton père n’ait plus que son âme à rendre Et plus d’espoir. III Prends un congé, prends la voiture, prends le train. Nous sommes réunis pour sa dernière veillée. Il va bien falloir que tu arrives demain. Il t’a déjà pardonné, Mais, s’il te plaît, viens. REFRAIN Je sais que tu as peur de sa mort, Tu repousses encore et encore Le temps de le voir. Car

COEUR DE FEMME

CŒUR DE FEMME Statut : Finalisé Compositeur-interprète : Renaud Vidal I Pierre brûlante, pierre qui bat, corps de femme, Tu deviens Eve quand tu t’enflammes. A la passion tu as fait don de l'innocence. Vierge d'amour, tu es en transe. II Tu as des larmes, des sourires et tant de rêves. Si on te brise, tu te relèves. C'est dans ton ventre que l'homme apprend l'existence, Femme au secret de la naissance. REFRAIN Avec tes lèvres brûlantes, ton cœur qui bat, ton corps de déesse, Dieu est un homme qui te caresse. Pour toi, l’amour est le seul refuge dans l'errance, Dans ton cœur de femme, on trouve l'espérance. III Amoureuse, libertine ou princesse, Tu es ma force et ma faiblesse. Tu es la terre qui fait le ciel plus immense, Moitié de l'homme, toute sa chance. REFRAIN Avec tes lèvres brûlantes, ton cœur qui bat, ton corps de déesse, Dieu est un homme qui te caresse. Pour toi, l’amour est le seul refuge dans l'errance, Dans ton cœur de femme, on trouve l&

Minohr auteure

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