Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles du mars, 2024

DE LA GAIETE, DE LA COULEUR

 DE LA GAIETE, DE LA COULEUR Statut : Réservé I De la gaieté, de la couleur ! Donne-moi le sentiment d'être. Garde-moi en vie ! Si je meurs, Donne-moi l'envie de renaître. II Des pleurs aussi, de la douleur ! Donne-moi de vraies émotions : Le remord qu'on a dans l'erreur Et la tendresse du pardon. REFRAIN Ces petits riens chers à mon cœur, Ces drôles de soucis, ces grands bonheurs, Tout c’ qu’on partage, et toi qui souris, C’est ça qui donne un sens à ma vie. III De la gaieté, de la couleur Donne-moi la vie tous les jours Donne-moi avril et les fleurs Je te donn’rai mon amour. REFRAIN Ces petits riens chers à mon cœur, Ces drôles de soucis, ces grands bonheurs, Tout c’ qu’on partage, et toi qui souris, C’est ça qui donne un sens à ma vie. REFRAIN Ces petits riens chers à mon cœur, Ces drôles de soucis, ces grands bonheurs, Tout c’ qu’on partage, et toi qui souris, C’est ça qui donne un sens à ma vie. © Mino Ratovondranto, Tous droits réservés

L'ORPHELIN

 L'ORPHELIN Statut :  Réservé I Avec cinq ans De solitude dans les veines, Juste un enfant Un peu plus vieux que la moyenne, Qu’on n’adopte pas, Car c'est plus mignon un bébé, L’orphelinat Est sa prison et son foyer. II Avec cinq ans D’espoirs déçus et de rêves morts, De faux parents Qui s’ croient dans une chasse au trésor, Ce petit gosse-là, Sur commande, a fait des sourires, Et puis il a Décidé de ne plus grandir. REFRAIN Pour qu’on le prenne Dans nos bras, Pour qu’on l’aime, Tu vois. Pour qu’on lui donne Une maison, Un peu d’amour Et notre nom. Pour qu’on le prenne Dans nos bras Pour qu’on l’aime, Tu vois. Il serait même Devenu chien Pour un câlin. III Après cinq ans D’absence d’amour et de survie, Enfin des gens Sont venus spécial’ment pour lui. Pourtant il a peur Que, s’il déçoit, on l’abandonne. Alors son cœur Fais semblant, mais n’ s’ouvre à personne. REFRAIN Pour qu’on le prenne Dans nos bras, Pour qu’on l’aime, Tu vois. Pour qu’on lui donne Une maison, Un peu d’amour

UN BAISER

 UN BAISER Statut : Réservé Je veux Des baisers, Des baisers doux, Des baisers partout ! Des baisers roses ou rouge ardent, Avec passion ou tendrement, Qui se poseraient sur la joue, Et aussi dans le cou. J’ veux pas De baisers, De baisers miel, De baisers cruels ! Qui veulent tout dire et rien du tout, Comme une promesse qui s’en fout, Qui fait monter au septième ciel, Puis voir trente-six chandelles. Je veux Des baisers, Des baisers forts, Des baisers sonores ! Avec des bras qui vous entourent, Pour de nouveau croire à l’amour, Tout en douceur et réconfort, Ceux-là, j’en veux encore ! J’ veux pas De baisers, De baisers lourds, D’ baisers sans amour, Par habitude ou pour le fun, Parc’ que c’est un genre qu’on se donne, De baisers fuyants juste pour Faire un banal bonjour. Je veux Des baisers, Des baisers forts, Des baisers sonores ! Avec des bras qui vous entourent, Pour de nouveau croire à l’amour, Tout en douceur et réconfort, Ceux-là, j’en veux encore ! © Ratovondranto Mino, tous

LA FOULURE

 LA FOULURE Statut : Réservé I 4 Souviens-toi de 4 Colin-maillard, 4 Quand on jouait 4 Dans le brouillard, 5 Tu t'étais foulé 3 La cheville. 5 Je t'ai fabriqué 3 Des béquilles 5 Avec mon épaule 3 Et mon bras. 4 Je t'ai plâtré 4 Avec ma bouche, 4 J'ai mis au moins 4 Cinquante couches 5 De petits baisers 3 Guérisseurs, 5 Et tu grimaçais 3 De douleur 5 Pour ne pas montrer 3 Ton émoi. II 4 Le brouillard s'est 4 Changé en pluie, 4 On a cherché 4 Un P’tit abri. 5 Dans une cabane 3 De pêcheur, 5 Au milieu des cannes 3 Et des leurres, 5 Je t’ai préparé 3 Un p’tit nid. 4 Comme des noces 4 Inattendues, 4 Bénies par l'eau 4 Tombée des nues, 5 Moi, je t'ai portée 3 Dans mes bras 5 Pour entrer dans la 3 Case en bois 5 Où l'on a passé 3 Tout’ la nuit. III 4 Et dans le noir, 4 Le corps fiévreux, 4 J'ai su, tu me 4 Cherchais des yeux. 5 J'étais si inquiet, 3 T’ avais mal, 5 On n’était pas près 3 D’ l’hôpital, 5 Mais j’ai trouvé la 3 Solution : 4 Au tout début,

OSER LA LIBERTE

CELUI QUI OSE Statut : Réservé I Je ne voyais pas le temps qui passe Avant d’ l’avoir perdu. J’ai usé ma pauvre carcasse Dans des métiers ardus Et mal payés. Et puis un jour, j’ai vu dans ma glace Un visage inconnu. Je n’ai pas retrouvé la trace De l’homme résolu Que j’étais. REFRAIN Il faut qu'on ose à fond, Qu'on ose faire, Qu'on ose parler, On doit oser dire non ! Afin d'oser rêver L’extraordinaire, Et pour tout changer, Oser la liberté. II Je ne voyais pas les loups qui volent Le temps des pauvres gens, Se disant leurs porte-parole Tout en les muselant A leur insu. Tu peux me passer la camisole, Il y aura maintenant, Pour raconter ce ras-le bol, Bien d’autres fous chantants Dans la rue. REFRAIN Il faut qu'on ose à fond, Qu'on ose faire, Qu'on ose parler, On doit oser dire non ! Afin d'oser rêver L’extraordinaire, Et pour tout changer, Oser La liberté. © Mino Ratovondranto, Tous droits réservés

FEMME PLURIELLE

FEMME PLURIELLE Statut : Réservé I La femme fatale, Celle qui a mal, Une femme discrète ... Qui te tient tête ! PRE-REFRAIN J’ai tout donné pour être celles Que tu désires, Une femme plurielle. Et ça te fait sourire... REFRAIN Cacher et dévoiler mon âme, Être le jour et la nuit, J’ai appris à devenir toutes les femmes, Toutes les femmes de ta vie. II La femme qui pleure, Celle qui n’a pas peur, Épouse terre à terre ... Célibataire ! PRE-REFRAIN J’ai tout donné pour être celles Que tu désires, Une femme plurielle. Et ça te fait sourire... REFRAIN Cacher et dévoiler mon âme, Être le jour et la nuit, J’ai appris à devenir toutes les femmes, Toutes les femmes de ta vie. III Mes deuils et mes fêtes, Talons aiguille, baskets, Mes désirs profonds … Mes illusions ! FINAL J’ai tout donné pour être celles Que tu désires, Une femme plurielle Et ça te fait sourire... © Mino Ratovondranto, Tous droits réservés